À propos de Cécile Briomet

Cécile Briomet

J’écris des histoires pour m’inventer mille vies. Et comme mes tiroirs sont déjà remplis à craquer, j’en publie quelques-unes ! Réservée, parfois drôle, toujours sincère, je me balade de genres en registres, surfant sur ce qui me plaît et que j’aime raconter.

Tu veux savoir qui se cacher derrière l’autrice Cécile Briomet ? D’ailleurs, ce n’est pas mon vrai nom… Je n’ai pas voulu choisir entre mon père et ma mère, conflit de loyauté ou un truc comme ça. J’ai décidé de mixer ensemble leurs noms de famille. Et paf ! BRIOMET. J’ai trouvé ça joli, ce n’est pas éloigné des noms d’origine et ça sonnait bien à l’oreille. Enfin, à la mienne, c’est le principal non ?

Ça se prononce BRIOMÉ et pas BRIOMETTE, je dis ça en passant, mais en vérité, ce n’est pas si grave si tu le dis à la manière des gens du sud, je me reconnaîtrais ! Donc Cécile Briomet.

Ah ! Et je m’appelle vraiment Cécile. Ce n’est pas le prénom le plus fou de la terre, mais, pour le coup, j’y suis habituée. Et si tu m’appelais Rosalie dans la rue, je ne me retournais pas, c’est sûr. Donc on reste sur Cécile, ça nous facilitera la vie, je te jure. Surtout si tu veux vraiment m’appeler ou me prévenir d’un danger imminent. « Rosa… ! » BIM KO.

Cécile Briomet

 

Ça, c’est moi. Les dents du bonheur, un petit souci de confiance en soi, un seul petit cousin, pas de frère, ni de soeur. Des parents séparés et des grands-parents aimants. 

Mais revenons-en à Cécile Briomet, maintenant que tu sais que je suis vraiment Cécile et pas vraiment Briomet. Enfin, si. Mais si tu as suivi, tu comprends désormais.

J’ai la trentaine. Je mets une dizaine large parce que je suis au tout début et que j’espère ne pas modifier cette page tous les ans, juste pour mon âge qui, après tout, n’est qu’un chiffre. Après des études en droit et l’obtention d’un master, j’ai cherché ma voie. Je crois que je la cherche encore parfois d’ailleurs, mais la trouve-t-on jamais ? J’ai donc passé une maîtrise pour les métiers de l’enseignement, obtenu le CAFEP en histoire et littérature, refusé un poste de prof’ et travaillé 6 ans à la CAF. Cohérent ? Je n’en sais rien. Finalement, ça m’a amenée à la case « Cécile Briomet — Autrice », donc j’imagine que oui.

 

J’ai publié plusieurs romans que je t’invite à découvrir ici, en librairie, sur Vinted ou tout autre site qui te permettra de te procurer mes livres. Essaie de la faire légalement, c’est toujours plus sympa pour l’autrice, rapport droits d’auteur tout ça tout ça. Mais c’est un autre débat. Revenons-en à Briomet.

Depuis maintenant quelques mois, je suis également formatrice pour auteurs.ices. Ça m’a semblé cohérent compte tenu du parcours précédent. J’aide les auteurs.ices à mieux comprendre ce métier passionnant, tant sur l’aspect éditorial que sur les volets juridiques et fiscaux. Et il a de quoi dire ! Peut-être que je l’ai trouvée, finalement, cette voie.

 

J’ai toujours voulu faire un portrait chinois, mais je ne crois pas qu’on me l’ait déjà proposé… Et tu sais ce qu’on dit : on n’est jamais mieux servi, tout ça, tout ça. Enfin, on ne termine pas la phrase par « tout ça, tout ça », mais tu as compris.

Si j’étais un animal, je serais donc une hirondelle. J’ai la phobie des oiseaux pourtant… mais celui-ci à un sens particulier pour moi. Pour la petite histoire, elles avaient élu domicile dans le garage de la maison de famille et mon grand-père, soucieux de ne pas les perturber, avait percé la porte en bois pour leur faciliter le passage. Quand je les vois elles, je le vois lui.

Si j’étais un métier, je serais autrice. Restons cohérents cinq minutes. Et puis j’aime tous les aspects de ce métier : l’écriture, les échanges avec les autres professionnels, les salons… Je m’y sens à ma place.

Si j’étais un lieu, je serais une vallée. C’est vert, inspirant, reposant. Quand je vois ce paysage, je me coupe du reste du monde.

Si j’étais une couleur, je serais le vert. Réf à la vallée.

Si j’étais un parfum, je serais le jasmin ou celui de la terre autour des vignes.

Si j’étais une saison, je serais le printemps. L’air du renouveau me fait du bien.

Si j’étais un moment de la journée, je serais la nuit.

Si j’étais un livre, je serais un conte pour enfants. Tout se joue là, non ?

Si j’étais un dessert, je serais une charlotte aux abricots ou aux pêches. Faite par ma mamie. Elle est la référence familiale de la charlotte.

Si j’étais une émotion, je serais la mélancolie.

Si j’étais une mauvaise habitude, je serais me coucher très tard pour vivre la nuit. J’aime ses bruits, ses silences aussi.

Si j’étais un gros mot, je serais « putain », mais chez moi, c’est une virgule.

 

Maintenant qu’on se connait un peu mieux, on continue l’aventure ensemble ?

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