Ces auteurs qui m’inspirent

Ose ! Le blog

Ces auteurs qui m'inspirent

Ces auteurs qui inspirent

J’ai longtemps cru qu’avoir un modèle me servirait de ligne de conduite. Tu sais, un genre de gourou dont je suivrai les pas au millimètre près, ses conseils guidant ma carrière professionnelle à la façon d’un Messi arrivant sur terre. J’ai longtemps lu les instants de vie de certains auteurs classiques inspirants, écouté des podcasts sur d’autres plus contemporains, et si je trouve toujours des choses incroyables dans chacune de leurs histoires, j’ai une petite voix dans ma tête qui me répète sans cesse « tu vas suivre ton propre chemin ».

Voici ce que j’ai pu retenir de leurs parcours inspirants… mais aussi du mien !

1. Inspire-toi du positif !

Ça fait du bien d’entendre un auteur qui a réussi à vivre de sa plume après être passé par X épreuves que tu es toi-même en train de traverser, non ? C’est normal ! Ôte le manteau de la culpabilité, on en est tous là. Et tu sais quoi ? J’adore ces parcours ! Pour moi, ils sont vraiment inspirants. J’aime entendre un auteur dire qu’il n’y croyait plus… quand soudain. Un peu à la façon des histoires d’amour dans les téléfilms de la 6. Si tu as lu Mon monde en équilibre, tu sais que j’ai une affection particulière pour ce genre d’après-midi. Nourris-toi de cette positivité. Pourquoi, toi aussi, tu n’aurais pas le droit à ta chance ? Tu la sens, la rage au creux du ventre ? Celle qui te pousse à continuer sans cesse ? Laisse-la vivre et crois !

Je pense que ces auteurs, aux parcours atypiques parfois, sont inspirants parce que justement ils n’ont jamais cessé d’y croire. Et c’est leur détermination qui les a menés à continuer d’écrire, toujours, encore. Certains ont pu vivre de leur plume, d’autres non, mais ont écrit des choses incroyables. Ça vaut le coup de s’en inspirer, non ?

2. Ose !

OK, on est peut-être sur du cliché, mais tu sais qu’OSE est mon mantra depuis la création de mes formations et mon passage à 100 % dans ma vie d’autrice. C’est tellement vrai : OSE !

Je n’ai jamais eu autant d’opportunité que depuis le jour où j’ai décidé de prendre ma vie en main et de ne plus avoir peur de ce qu’on pourrait penser de moi. Il y a une opportunité ? J’y vais. Une personne à contacter ? Hop, je prends mon téléphone. J’ai longtemps cru (et eu peur) d’être opportuniste. Pourtant, je n’ai jamais eu ce sentiment quand j’étais moi-même sollicitée pour quelqu’un d’autre. Si je peux aider, je le fais avec bon cœur, pourquoi en serait-il autrement de l’autre côté ? Et si c’était mal pris, tu sais quoi ? Tu auras essayé.

Tu n’as jamais entendu l’histoire d’un artiste qui a eu le cran de contacter la bonne personne au bon moment et PAF, c’est le début de l’histoire ? Je me nourris de récits inspirants comme ça. Quand j’ai un coup de mou, hop, je regarde du côté de ceux qui m’inspirent et je reprends un shot de positif et de confiance.

Bien sûr on n’est pas sur du harcèlement par mail, des campagnes de squat devant une maison d’édition et compagnie. On reste sur du soft avec politesse et bienveillance, mais je suis sûre que tu as saisi l’idée.

3. Ne cesse jamais de croire en toi

Quand j’étais gamine, j’ai rencontré un paquet de personnes vraiment malveillantes. Des poisons. Ceux qui s’infiltrent dans ta vie, dans ta tête. Ils te mettent plus bas que terre et s’en vont comme si de rien n’était. J’étais enfant et naïvement, je croyais que les adultes nous protégeaient de ça, pas qu’ils en étaient à l’initiative. J’ai eu le droit au « tu ne feras jamais rien de ta vie », « je te prendrai tout, il ne te restera rien », et autres réjouissances dont je tairai les détails.

Inconsciemment, je crois que j’y ai cru pendant longtemps. Que me contenter du minimum était déjà bien, car je risquais trop en essayant d’avoir plus. Peut-être que je ne le méritais pas finalement et que risquer c’était perdre ? J’étais toujours la petite dans son coin qui a peur de parler fort, de dire le mot de trop qui dérangerait. Celle qui voudrait qu’on l’aime, mais qui n’ose le formuler de peur de prendre trop de place.

Un jour pourtant, j’y ai cru. J’ai eu le sentiment de vouloir dévorer le monde. J’avais la faim au ventre, cette sensation étrange que vous ressentez à l’approche d’un repas alors que le précédent remonte à plusieurs heures. J’avais la dalle. J’ai ouvert les yeux et j’ai su que je n’avais pas à avoir peur, seulement à me laisser porter. Que j’avais droit à une place dans ce monde : et pas une place de vélo au fond d’un parking, la VIP XL devant la porte d’entrée. J’ai compris que j’en dérangerai forcément certains, quel que soit l’endroit où je me trouve, alors autant que le lieu soit confortable !

Et tu sais quoi ? De rencontres en circonstances favorables, j’ai appris qu’il n’y avait rien à perdre, tout à gagner.

Tu t’attendais peut-être à une liste de lectures ou d’auteurs.ices inspirants. Oups. Tape ta recherche sur Google, je suis sûre que tu en trouveras plein. Toutefois, je crois sincèrement que, pour toi, le plus inspirant de tous se trouve derrière cet écran à lire ces lignes. Crois en toi, le reste suivra !

 

Partage

Restons en contact !

Pas de messages intempestifs mais des courriels ponctuels pour être informé.e.s des dernières actualités et bénéficier d'infos inédites.

*Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.